Ces deux vidéos nous confrontent au drame qui se joue dans le silence inexplicable de nos autorités de santé. C’est un appel à ouvrir les yeux sur la catastrophe sanitaire dont les populations sont victimes à travers ces injections de produits expérimentaux (1).
Ces vidéos font le point sur les données officielles de pharmacovigilance en Europe et aux États-Unis. Elles donnent la parole à des médecins et des infirmières qui témoignent de la réalité sur le terrain, dans les hôpitaux, en particulier de la réalité choquante des décès et des effets secondaires graves dus aux vaccins covid, entièrement passés sous silence par les médias mainstream.
Ces vidéos donnent également la parole à des virologues, des généticiens, des pharmaciens et des médecins qui nous aident à comprendre les risques liés aux vaccins covid, la nature des effets secondaires et leurs causes.
Les chiffres de pharmacovigilance sont plus qu’alarmants, ils sont choquants ! Il est maintenant question de
23 252 issues fatales et 409 294 effets indésirables graves suite à des injections anti-COVID en Europe, selon les données officielles du site EudraVigilance (les sources sont dans le lien en dessous des vidéos). En 2009, pour le vaccin H1N1 (2), les campagnes de vaccination avaient été stoppées après 53 morts dues aux injections. Aujourd’hui nous continuons tête baissée vers la vaccination de nos enfants, avec bientôt la 3e et la 4e dose pour tout le monde.
Il se pourrait bien que ce soit de notre avenir et de celui de nos enfants à très court terme dont il est aujourd’hui question.
# Effets secondaires graves des vaccins anticovid - Partie 1
# Effets secondaires graves des vaccins anticovid - Partie 2
- Lien pour accéder aux données officielles de pharmacovigilance européennes:
- Comparaison entre la mortalité du Covid-19 et la létalité des vaccins:
GUIDE A DESTINATION DES PARENTS CONCERNANT LA CAMPAGNE DE VACCINATION DE LEURS ENFANTS AU COLLEGE ET LYCEE
Collectif de parents d’élèves pour le consentement libre et éclairé de la vaccination anti-Covid
Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS
Le plus grand flou règne sur l'ampleur exacte des effets secondaires du vaccin. On doit à l'OMS et à sa base partagée par le centre d'Uppsala, la base VigiAccess, de donner quelques éléments d'informations un peu plus fiables que les éléments transmis par l'ANSM en France, et par quelques autres. On retiendra que cette base recense plus d'un million de cas d'effets secondaires pour la seule Europe, et pour la seule année 2021, du fait de la vaccination contre le COVID. Un chiffre qui sème le trouble sur la sincérité des chiffres en France.
[...]
On en veut pour preuve les chiffres globaux donnés par cette très dangereuse institution complotiste appelée l’OMS, sur la base VigiAccess opérée par l’Uppsala Monitoring Centre, tout ce qu’il y a de plus officiel donc. Nous reproduisons ci-dessus le nombre d’effets secondaires du vaccin comptabilisés par continent, tous vaccins confondus.
On s’aperçoit que l’Europe est championne de l’effet secondaire, alors qu’elle compte environ 280 millions d’habitants vaccinés (on en compterait 380 millions aux Etats-Unis). Pour être exact, 1.074.200 effets secondaires étaient comptabilisés sur notre continent, soit un cas toutes les 560 millions d’injections environ, ou 1 cas pour 280 vaccinés. Ce n’est quand même pas rien.
Lire l'article en entier : https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/27/plus-dun-million-deffets-secondaires-du-vaccin-en-europe-reconnus-par-loms/
En France, un collectif de chercheurs et de médecins alertent :
LE COLLECTIF reinfocovid
Nous sommes un collectif de soignants, médecins et scientifiques universitaires, réunis autour d’une idée : le besoin d’une politique sanitaire juste et proportionnée pour la France.
Aujourd’hui, nous sommes choqués. La société française se voit imposer un panel de mesures sécuritaires, fruit d’un processus de décision unilatéral et pyramidal, faisant fi de toute concertation ou réflexion participative. Or certaines de ces mesures se révèlent dénuées de toute justification, leur validité ne résistant ni à l’étude rigoureuse du contexte épidémiologique actuel, ni au plus simple pragmatisme.
Aujourd’hui, nous sommes choqués. Les médias propagent en continu dans le pays une information tronquée, basée sur le sensationnalisme, et volontiers culpabilisante. Une partie de la population pâtit lourdement de cette manipulation, et développe une pensée et un comportement irrationnels et déconnectés de la réalité. Ces symptômes témoignent d’un phénomène que la sociologie décrit sous le nom de « psychose collective ».
Aujourd’hui, nous sommes choqués. Un discours officiel simpliste et infantilisant est martelé tous azimuts, acculant nos contemporains à un choix scandaleusement binaire : être pour, et se ranger dans le camp des bons citoyens dociles, ou être contre et se voir pointés du doigt, considérés au mieux comme des égoïstes irresponsables, au pire comme de « dangereux complotistes ».
Nous affirmons que plusieurs mesures récemment prises à l’échelle de la société, sous couvert d’une prétendue sécurité collective et d’un altruisme caricatural, revêtent en fait une nature profondément politique. Or ces mesures engendrent au sein de notre population une souffrance préoccupante, dont les conséquences psycho sociales lourdes sont tues. Il s’agit en particulier de l’obligation du port du masque par les enfants à l’école, de l’obligation du port du masque en extérieur, et des mesures de reconfinement.
Nous demandons donc leur suspension, et le rétablissement d’une prévention fondée sur la connaissance et l’expérience de longue date des épidémies en médecine (isolement des malades symptomatiques, précautions d’hygiène standard en population générale, précautions renforcées pour les sujets fragiles).
Nous affirmons que la prise de décision en médecine et santé publique découle toujours de l’étude du rapport entre les bénéfices attendus et les risques encourus. Cette étude requiert pour être menée à bien l’association d’une expertise scientifique pointue, et d’un bon sens pratique issu de l’expérience de terrain. Or la seule et indispensable garantie de ce processus est la collégialité.
Nous demandons donc la réouverture sans délai d’un véritable et sain débat démocratique, basé sur la transparence, et associant largement professionnels de la médecine, scientifiques universitaires, acteurs de la société civile, et acteurs de la sphère politique.
Nous affirmons enfin que la France est le pays des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales et imprescriptibles du citoyen, issues des Lumières. Et que si en France ne sont plus respectées la liberté d’aller et venir, de se réunir avec ses semblables, la liberté de disposer de son corps et d’exprimer son opinion dans le respect, alors ce pays qui est le nôtre ne peut plus être appelé « Démocratie ».
Source:
Tous les articles scientifiques du collectif Reinfocovid :
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