Le Pape François se fait le porte voix du GREAT RESET et de la propagande mondialiste:
1. La promotion du numérique, pour préparer le développement du transhumanisme et de la dictature numérique
LE VATICAN ASSURE AU MONDE QUE L'IA (Intelligence Artificielle) EST L'AVENIR DE L'HUMANITÉ ET INVITE À PRIER POUR CE DOGME
2. La promotion du revenu de base universel, futur instrument d’aliénation et fondement de la grande réinitialisation économique annoncée par le Forum Économique Mondial:
3. La promotion de la vaccination
Le Vatican juge les vaccins anti-Covid « moralement acceptables »
Le Vatican a incité ce lundi les catholiques à se faire vacciner contre le Covid-19, expliquant que tous les vaccins développés sont « moralement acceptables », y compris ceux produits à partir de cellules de fœtus avortés au siècle dernier.
Des cellules-souches de fœtus avortés utilisées
« Il est moralement acceptable de recevoir des vaccins Covid-19 qui ont utilisé des lignées cellulaires de fœtus avortés dans leur processus de recherche et de production », explique la note approuvée par le pape et publiée lundi par la Congrégation pour la doctrine de la foi (gardienne du dogme).
Les cellules-souches de fœtus avortés dans les années 60, 70 et 80 – reproduites en laboratoire depuis des décennies sous forme de « lignées cellulaires » – ont été utilisées par de nombreux de chercheurs pour concevoir des vaccins anti-Covid-19, par exemple au sein des groupes Astra Zeneca, Moderna et Pfizer, documente l’Institut européen de bioéthique sur son site Internet.
4. La promotion de changements radicaux et fondamentaux pour la construction d'un monde nouveau, d'une humanité nouvelle.
Dans son encyclique du 3 Octobre 2020, "Fratelli Tutti" (tous frères), le pape François a développé les thèmes de gouvernance mondiale et d’universalité.
Selon lui, la crise du covid-19 appelle une nouvelle organisation politique du monde.
« Quand je rédigeais cette lettre, a soudainement éclaté la pandémie de la Covid-19 qui a mis à nu nos fausses certitudes. Au-delà des diverses réponses qu’ont apportées les différents pays, l’incapacité d’agir ensemble a été dévoilée. Bien que les pays soient très connectés, on a observé une fragmentation ayant rendu plus difficile la résolution des problèmes qui nous touchent tous. Si quelqu’un croit qu’il ne s’agirait que d’assurer un meilleur fonctionnement de ce que nous faisions auparavant, ou que le seul message est que nous devrions améliorer les systèmes et les règles actuelles, celui-là est dans le déni.
...Plaise au ciel que tant de souffrance ne soit pas inutile, que nous fassions un pas vers un nouveau mode de vie et découvrions définitivement que nous avons besoin les uns des autres et que nous avons des dettes les uns envers les autres, afin que l’humanité renaisse avec tous les visages, toutes les mains et toutes les voix au-delà des frontières que nous avons créées ! »
Le pape appelle de ses vœux une nouvelle humanité universelle qui transcende les distinctions d’identités nationales et religieuses.
« Je forme le vœu qu’en cette époque que nous traversons, en reconnaissant la dignité de chaque personne humaine, nous puissions tous ensemble faire renaître un désir universel d’humanité. Tous ensemble. […]
Rêvons en tant qu’une seule et même humanité, comme des voyageurs partageant la même chair humaine, comme des enfants de cette même terre qui nous abrite tous, chacun avec la richesse de sa foi ou de ses convictions, chacun avec sa propre voix, tous frères. »
Il poursuit en faisant l'apologie du projet de l'Union Européenne, qui permet "de dépasser les divisions, et favoriser la paix et la communion entre tous les peuples du continent", en opposition aux "nationalismes étriqués, pleins de ressentiments et agressifs qui réapparaissent". Il associe l’idée même d’unité nationale à des idéologies qui créent "de nouvelles formes d’égoïsme et de perte du sens social sous le prétexte d’une prétendue défense des intérêts nationaux".
Tout au long de son message, le pape opère un subtil remplacement des fondements de la foi chrétienne basée sur le message de Jésus, vers une foi universelle de l'amour; préparant ainsi le chemin à la nouvelle religion mondiale, qui unifiera tous les peuples sous la bannière de l'amour:
"L’amour nous met enfin en tension vers la communion universelle. De par sa propre dynamique, l’amour exige une ouverture croissante, une plus grande capacité à accueillir les autres, dans une aventure sans fin qui oriente toutes les périphéries vers un sens réel d’appartenance mutuelle."
Dans son chapitre REMETTRE L’ACCENT SUR LA FONCTION SOCIALE DE LA PROPRIÉTÉ, le pape pose les bases de l’idéologie néo-communiste promut par les mondialistes sous couvert de promouvoir une vraie égalité sociale, en visant en réalité l'abolition du droit à la propriété privée et la mise en place du revenu de base universel, pour un contrôle total des populations et la confiscation des richesses de 99% de la population mondiale entre les mains du 1% qui les auront confisqué :
"Le monde existe pour tous, car nous tous, en tant qu’êtres humains, nous naissons sur cette terre avec la même dignité. Les différences de couleur, de religion, de capacités, de lieu de naissance, de lieu de résidence, et tant d’autres différences, ne peuvent pas être priorisées ou utilisées pour justifier les privilèges de certains sur les droits de tous. Par conséquent, en tant que communauté, nous sommes appelés à veiller à ce que chaque personne vive dans la dignité et ait des opportunités appropriées pour son développement intégral.
[...]
Je viens de nouveau faire miennes et proposer à tous quelques paroles de saint Jean-Paul II dont la force n’a peut-être pas été perçue : « Dieu a donné la terre à tout le genre humain pour qu’elle fasse vivre tous ses membres, sans exclure ni privilégier personne ». Dans ce sens, je rappelle que la tradition chrétienne n’a jamais reconnu comme absolu ou intouchable le droit à la propriété privée, et elle a souligné la fonction sociale de toute forme de propriété privée. Le principe de l’usage commun des biens créés pour tous est le « premier principe de tout l’ordre éthico-social » ; c’est un droit naturel, originaire et prioritaire. Tous les autres droits concernant les biens nécessaires à l’épanouissement intégral des personnes, y compris celui de la propriété privée et tout autre droit « n’en doivent donc pas entraver, mais bien au contraire faciliter la réalisation », comme l’affirmait saint Paul VI. Le droit à la propriété privée ne peut être considéré que comme un droit naturel secondaire et dérivé du principe de la destination universelle des biens créés ; et cela comporte des conséquences très concrètes qui doivent se refléter sur le fonctionnement de la société.
[...]
À côté du droit de propriété privée, il y a toujours le principe, plus important et prioritaire, de la subordination de toute propriété privée à la destination universelle des biens de la terre et, par conséquent, le droit de tous à leur utilisation."
Les états souverains et les frontières ne doivent pas entraver cette grande égalité sociale:
"Personne ne peut donc être exclu, peu importe où il est né, et encore moins en raison des privilèges dont jouissent les autres parce qu’ils sont nés quelque part où existent plus de possibilités. Les limites et les frontières des États ne peuvent pas s’opposer à ce que cela s’accomplisse."
Le pape souhaite ainsi l'abolition des souverainetés nationales et du droit de chaque peuple à s’auto-déterminer, puisqu'il nous faudrait désormais gérer les biens de la planète de façon égale et universelle:
"La conviction concernant la destination commune des biens de la terre doit s’appliquer aujourd’hui également aux pays, à leurs territoires et à leurs ressources. En considérant tout cela non seulement du point de vue de la légitimité de la propriété privée et des droits des citoyens d’une nation déterminée, mais aussi à partir du principe premier de la destination commune des biens, nous pouvons alors affirmer que chaque pays est également celui de l’étranger, étant donné que les ressources d’un territoire ne doivent pas être niées à une personne dans le besoin provenant d’ailleurs."
Et il faut pour cela des changements profonds et radicaux:
"Nous parlons d’un nouveau réseau dans les relations internationales, car il est impossible de résoudre les graves problèmes du monde en ne pensant qu’à des formes d’entraide entre individus ou petits groupes...
Il s’agit, sans aucun doute, d’une autre logique. Si l’on n’essaie pas d’entrer dans cette logique, mes paroles auront l’air de fantasmes. Mais si l’on accepte le grand principe des droits qui découlent du seul fait de posséder la dignité humaine inaliénable, il est possible d’accepter le défi de rêver et de penser à une autre humanité. On peut aspirer à une planète qui assure terre, toit et travail à tous. C’est le vrai chemin de la paix... En effet, une paix réelle et durable n’est possible « qu’à partir d’une éthique globale [comprendre: mondiale] de solidarité et de coopération au service d’un avenir façonné par l’interdépendance et la coresponsabilité au sein de toute la famille humaine ».
En d'autre termes, il nous faut une gouvernance mondiale :
"Nous avons besoin d’un ordre juridique, politique et économique mondial susceptible d’accroître et d’orienter la collaboration internationale vers le développement solidaire de tous les peuples.
[...]
Une meilleure politique, mise au service du vrai bien commun, est nécessaire pour permettre le développement d’une communauté mondiale, capable de réaliser la fraternité à partir des peuples et des nations qui vivent l’amitié sociale.
[...]
Dans ce contexte, la maturation d’institutions internationales devient indispensable, qui doivent être plus fortes et efficacement organisées, avec des autorités désignées équitablement par accord entre les gouvernements nationaux, et dotées de pouvoir pour sanctionner ». Lorsqu’on parle de la possibilité d’une forme d’autorité mondiale régulée par le droit, il ne faut pas nécessairement penser à une autorité personnelle. Toutefois, on devrait au moins inclure la création d’organisations mondiales plus efficaces, dotées d’autorité pour assurer le bien commun mondial, l’éradication de la faim et de la misère ainsi qu’une réelle défense des droits humains fondamentaux."
Pour lire l'encyclique en entier: https://eglise.catholique.fr/vatican/encycliques/lencyclique-fratelli-tutti/#1581513948260-ece0421a-2afa
Qui ne désire pas la paix, l'égalité et un règne d'amour entre tous les hommes? Mais nous savons bien qu'il ne suffit pas d'utiliser des mots pour prouver que nous servons les vérités qu'ils décrivent.
Gardons-nous des discours séducteurs, examinons toutes choses pour savoir si ce que l'on nous dit est vrai.
Il ne suffit pas de se réclamer de la foi chrétienne pour en porter réellement le message et le témoignage.
Après avoir remis en cause le droit à la propriété privée, le pape François nous a parlé de redistribution des richesses et des biens pour une plus grande égalité et pour lutter contre la pauvreté... qu'il commence donc par redistribuer les richesses, les biens et les vastes propriétés que possède le Vatican et l’Église Catholique, accumulées pendants des décennies; ensuite nous jugerons de l’authenticité de son discours.
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