Tout d'abords, petit retour sur certaines déclarations entendues à la télévision, en lien avec le port du masque qu'on nous impose:
Sans transition:
Photos de boites et emballages de masque de "protection" :
Posons-nous les bonnes questions...
Si le masque n'offre pas de réel protection contre le coronavirus et si au lieu de diminuer le risque d'attraper le virus il en augmente les chances du fait de la multiplication des attouchements du visage qu'il provoque, (voir post 1 et post 2 sur le sujet) pourquoi donc le rendre obligatoire à tous, aux bien portants, aux enfants, aux personnes âgées déjà affaiblies, aux femmes enceintes, même pendant l’accouchement, dedans, dehors ?
Posons-nous la question des dommages pour la santé physique (insuffisance d’approvisionnement en oxygène, infections buccales, affaiblissement du système immunitaire, etc.) et psychique que provoque l’utilisation systématique et prolongée du masque telle qu’elle nous est imposée.
- Le port du masque est BIEN SÛR nocif pour la santé !
- Les graves conséquences psychologiques pour les enfants obligés de porter le masque à l'école
Posons-nous ensuite la question du port du masque dans le cadre de son instrumentalisation politique et comme étant un élément de plus, participant au conditionnement psychologique des populations.
A travers des techniques d’ingénierie sociale et l’instrumentalisation de la peur, les pouvoirs en place ont cherché à induire des états de sidération, de résignation et de perte de repères, conduisant à l’affaissement des systèmes de résistance psychique, dans le but de conditionner les individus et les populations dans la soumission, les préparant ainsi à accepter docilement toutes les mesures « salvatrices » (bien que liberticides) et tous les changements sociaux, politiques et économiques que nous imposeront ces élites.
Ce conditionnement quotidien relayé par les médias, de la menace qui pèse sur nous, du virus qui est partout, de la nécessité des gestes barrières et de la distanciation, les discours culpabilisants, l’exacerbation de la peur incitant les gens à se considérer comme des menaces les uns pour les autres ; tout ceci participe à l’isolement social des individus et à une re-normalisation des relations familiales et sociales.
- Manger en famille, séparément et avec le masque… ou comment détruire les liens sociaux, jusque dans les familles. (Sur BFMTV - Novembre 2020-11-03)
Nos enfants devraient donc porter le masque à la maison tout le temps... et nous ne devrions pas manger avec eux, mais séparément... Dans quelle folie avons-nous basculé ?
Diviser (isoler), pour mieux régner…
Le port du masque obligatoire participe de cette grande expérience de subjugation et de soumission globale.
Le masque est une réalité visible qui traduit aussi d’une réalité invisible : le muselage de la parole et donc de la pensée.
Alors que nos bouches sont muselées par le masque, notre liberté de parole l’est également. Il devient de plus en plus difficile de remettre en cause la pensée unique, les « vérités » et les mesures qui nous sont imposées par les pouvoirs en place, sans être stigmatisés, diabolisés et pointés du doigt comme étant de dangereux complotistes. A ce rythme-là, il ne sera bientôt plus permis de penser par nous-mêmes, de critiquer le gouvernement et de remettre en question ce que la radio et la télévision nous disent.
L’histoire nous apprend que lorsque de tels systèmes de contrôle et de propagande se mettent en place, lorsqu’on nous dit que les libertés individuelles doivent être sacrifiées pour permettre aux dirigeants de mieux nous protéger contre « la menace » (le virus, les terroristes, le réchauffement climatique, etc) ; c’est alors que la dictature nous attend au tournant.
Mais cette fois-ci, la dictature sera mondiale.
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