Le 9 décembre 2019, le journal britannique British Independent a publié sur son site web un article remarquable concernant un homme nommé Chris Long, qui avait reçu un don de moelle osseuse. Au bout de quatre ans, il a constaté que l'ADN du donneur pouvait être détecté dans son sang et sa salive. Mais pas seulement cela : dans ses spermatozoïdes, son ADN a été complètement remplacé par celui du donneur. Donc, à l'avenir, les enfants qu'il procréera porteront-ils les traits du donneur de moelle osseuse et les caractéristiques de son corps au lieu des siennes ? Dans ce contexte, non seulement la question du don d'organes doit être examinée de manière critique, mais aussi la vaccination avec les nouveaux vaccins génétiquement contaminés. Par exemple, le quadruple vaccin PRIORIX TETRA contre la rougeole contient de telles substances. Un groupe de scientifiques italiens a découvert que ce prétendu vaccin à ADN contient le gène complet d'un fœtus mâle. Une population entière doit-elle être reprogrammée par des vaccins présentant des caractéristiques étrangères ?
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