Plus le temps passe et plus la réalité apparaît à travers des enquêtes de plus en plus détaillées, de plus en plus fiables. Ainsi cette synthèse de 689 études mondiales portant sur les traitements précoces contre la covid avec le nombre de leurs effets positifs.
Le premier constat, c’est qu’en matière de soins administrés précocement, deux traitements arrivent largement en tête, l’hydroxychloroquine (HCQ) et l’ivermectine (IVM). Chacun des traitements précoces produit des effets positifs variables, mais non négligeables (on notera cependant le flop du remdesivir).
Le second constat est que les pays dits riches du bloc occidental ont totalement fait l’impasse sur les soins précoces, allant même jusqu’à les interdire. Est-ce un hasard si ce sont ces pays qui obtiennent les plus mauvais résultats en matière de victimes du covid rapportées aux densités de population ?
Il y a trois explications possibles à l'opposition des organismes de réglementation de la santé mondiale à l'utilisation d'un médicament hors AMM prometteur et bien toléré tel que l'ivermectine (ou l'hydroxychloroquine....)
- Tout d'abord en tant que générique, l'ivermectine est bon marché et largement disponible, ce qui signifie qu'il y aurait beaucoup moins d'argent à gagner par Big Pharma si elle devenait le traitement de premier plan contre la covid.
- Ensuite, d'autres sociétés pharmaceutiques (Merck entre autre) développent leurs propres nouveaux traitements pour Covid-19 qui devraient concurrencer directement l'ivermectine.
- Et surtout, si elle est approuvée comme traitement contre la covid-19, l'ivermectine pourrait même menacer l'autorisation d'utilisation d'urgence accordée aux vaccins. Nous parlons ici d'un marché de milliards d'euros en jeu...
Comments