Des résultats d’autopsie donnent des preuves irréfutables du rôle des injections à base d’ARNm dans les décès post vaccination
par Sucharit Bhakdi, MD et Arne Burkhardt, MD.
Extrait:
Les preuves
Nous présentons ici des preuves scientifiques qui devraient provoquer l’arrêt immédiat de l’utilisation des vaccins génétiques COVID-19. Nous expliquons d’abord pourquoi ces agents ne peuvent pas protéger contre les infections virales. Alors qu’aucun effet positif ne peut en être attendu, nous montrons que les vaccins peuvent déclencher des processus autodestructeurs qui conduisent à des maladies débilitantes et à la mort.
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Cette combinaison de pathologie multifocale, dominée par les lymphocytes T, qui reflète clairement le processus d’auto-attaque immunologique, est sans précédent. Comme la vaccination était le seul dénominateur commun à tous les cas, il ne fait aucun doute qu’elle a été le déclencheur de l’autodestruction chez ces personnes décédées.
Conclusion
L’analyse histopathologique montre des preuves claires d’une pathologie de type auto-immune induite par le vaccin dans plusieurs organes. Il est évident que l’on doit s’attendre à ce qu’une myriade d’événements indésirables dérivant de tels processus d’auto-attaque se produise très fréquemment chez tous les individus, en particulier après des injections de rappel.
Sans aucun doute, l’injection de vaccins génétiques COVID-19 met des vies en danger de maladie et de mort. Nous notons que tant les vaccins à base d’ARNm que de vecteurs sont représentés parmi ces cas, ainsi que les quatre principaux fabricants.
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